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Triticale Fractionner la fertilisation azotée

Différents travaux révèlent que le triticale a moins besoin d'azote que le blé et que l'apport en fin de montaison permet d'augmenter la teneur en protéines des grains.

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Les besoins azotés du triticale mieux connus. (© Terre-net Média)

On connaît mieux aujourd’hui les quantités optimales d’azote à apporter sur triticale. On sait aussi qu’il est préférable de fractionner les apports en gardant quelques unités pour la fin montaison. C’est ce que précisent des travaux récents conduits par Arvalis-Institut du Végétal, l’Inra et le Gie triticale.

Plusieurs séries d’essais conduits pendant huit ans, avec neuf variétés, ont montré que le triticale avait un peu moins besoin d’azote que le blé, en moyenne, 2,6 kg d’azote par quintal exporté.

Ce travail a également mis en évidence qu’un apport de 80 unités d’azote maximum, au stade fin montaison, au moment où se développe la dernière feuille, permet d’accroître la teneur en protéines des grains.

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